Lutter contre la corruption dans les secteurs Santé, Éducation et Justice pour une meilleure réalisation des droits humains à Madagascar.
Le projet MAIKA, appuyé par l’Union européenne, sera mis en œuvre dans les 06 provinces de Madagascar pour 30 mois. Il touche trois secteurs cruciaux qui sont la Justice, l’Éducation et la Santé. Dans son volet Santé, il vise à contribuer à l’assainissement du système de santé malgache pour un accès aux soins transparent et équitable pour tous. Le projet est actuellement en cours de démarrage
Améliorer l’accès à l’éducation et aux services de santé des femmes, filles et autres groupes vulnérables en Afrique en se focalisant sur la lutte contre la corruption.
Le financement de Global Affairs Canada (GAC), en collaboration avec géré par TI-S, a permis la mise en œuvre du programme MIARINA dans les 06 provinces de Madagascar depuis 2022. Il vise l’autonomie des femmes, filles et groupes à risque de discrimination en matière d’accès aux services de soins à travers la lutte contre la corruption dans le secteur de la Santé. Le projet s’étend sur quatre années.
Réalisé avec l’appui de l’Union Européenne en 2019, ce projet a été mené pendant un an dans les six chefs-lieux de province de Madagascar. La vocation de lutter contre la corruption dans le milieu de la santé et le plaidoyer pour un engagement étatique accru pour des services de santé accessibles en ont été les maîtres mots. Il a ciblé les décideurs et les acteurs des services de santé
Les droits sociaux ne sont pas respectés à Madagascar, et le secteur de la Santé en est un exemple. La mauvaise répartition des ressources est flagrante. La faiblesse du pouvoir d’achat des Malgaches ne leur permet pas de couvrir les dépenses de soins. La faible évolution des dépenses publiques explique aussi la précarité du système de santé. Malgré une volonté politique affichée en faveur des soins publics gratuits, la réalité est tout autre. La banalisation de la corruption plonge les ménages dans une extrême vulnérabilité. Le projet TSABOY NY GASY plaidait pour un engagement étatique accru pour un meilleur accès aux soins délivré de la corruption.
Le projet ACHES (Assesing Corruption in Healthcare System) vise à évaluer l’efficacité du mécanisme de Fonds d’équité mis en place dans les Centres de Santé de Base (CSB).
Le projet a voulu mesurer la connaissance et l’utilisation du fonds par le public cible ; améliorer la gouvernance en mettant en évidence les mauvaises pratiques (détournements de fonds, etc.) et le manque de transparence qui les entoure et enfin ; engager les acteurs publics et les autorités à renforcer la lutte contre la corruption au sein du système de santé.
Améliorer progressivement la fourniture de services de santé de qualité aux populations et communautés vulnérables dans six Centres de Santé de Base dans les régions Analamanga, Anosy et Atsimo Andrefana.
L’appui de la GIZ, à travers le programme FANAINGA, a permis la mise en œuvre du projet TRAAS dans 03 régions de Madagascar : Analamanga, Anosy et Atsimo Andrefana, pour 2 ans . Il a cherché à assoir une meilleure transparence et pratique dans la gestion des ressources des services offerts et à contribuer à la facilitation de l’accès des bénéficiaires à des services de qualité libérés de la corruption.
Le projet STACC a pour objectif de contribuer à un meilleur accès aux soins et au système de santé pour tous les Malgaches, avec un focus sur la pandémie de covid-19.
Ce projet appuyé par le PNUD a été mis en œuvre en 2021 dans 04 régions de Madagascar (Boeny, Diana, Atsinanana et Matsiatra Ambony), avec l’ambition de lutter contre la corruption dans le milieu de la santé et d’assurer le suivi de la transparence de la campagne de vaccination contre le covid-19.
